Samstag, 27. Juli 2013

La Cannebière

La Cannebière - quels attentes se manifestient dans cette rue... Elle est véritablement LA rue de Marseille, dont tout le monde parle.
C'est la rue où les ouvriers se rassemblent dans Les Mystères de Marseille d'Emile Zola: "La Cannebière dans toute sa longueur du port au coirs Belzunce, était emplie d'une foule immense qui aufmentait à chaque minute." 
Donc la rue est un lieu du peuple mais aussi pour Bella Block le lieu où Marseille comme ville portuaire est particulièrement presente, bien que la Cannebière ne se trouve point au port mais y mène (d'après Tod in Marseille de Doris Gercke).
Quand le réfugié Seidel du roman Transit d'Anna Seghers descend la Cannebière il constate: "Le plus souvent on est deçu des rues dont on a entendu beaucoup. Moi par contre, je n'étais pas deçu." 
Je ne peux pas me rallier à cette position. Je suis exprètent descendu la Cannebière pour arriver la première fois au Vieux Port de Marseille. En ce qui concerne sa longuer, le caractère de boulevard, je suis d'accord avec les écrivans. Quant à l'ambiente, je l'ai troivé éclatement populair, voire banal. Me rappelant Las Ramblas de Barcelone, elle flotte entre les murs, le tram au milieu. 
Seulement l'ouverture au port me prend le souffle - just pour le moment où je m'habitue à la beauté...

Die Cannebière - so viele Erwartungen lasten auf dieser Staße von der man gerne behauten kann, sie sei DIE Straße von Marseille...
Es ist die Straße, wo sich die Arbeiter versammeln in Les Mystères de Marseille von Emile Zola: "Die Cannebière in ihrer vollen Länge vom Hafen bis zum Cours Belzunce gefüllt von einer Menge, die jede Minute anwuchs". 
Die Straße ist also ein Raum des Volkes, aber auch der Ort, an dem Marseille als Hafenstadt besonders präsent ist, obwohl sie nicht am Hafen liegt sondern nur dorthin führt. (Findet Bella Block in Tod in Marseille von Doris Gercke) 
Als der Flüchtling Seidel in Transit von Anna Seghers die Cannebière hinunterläuft konstatiert er: "Meistens ist man enttäuscht von Straßen, von denen man viel gehört hat. Ich aber, ich war nicht enttäuscht." 
Ich kann mich diese Position nicht ohne weiteres anschließen. Ich bin extra die Cannebière hinunterflaniert, um zum ersten Mal zum Alten Hafen von Marseille zu gelangen. Was die Länge und den boulevardähnlichen Charakter angeht kann ich die Meinung der Autoren unterstützen. 
Die Armosphäre aber fand ich eklatant populär, gemein fast schon banal. Wie sie zwischen den Häusern zum Meer gleitet, die Straßenbahn in der Mitte, erinnert sie mich an die Ramblas in Barcelona. 
Einzig die Öffnung zum Hafen nimmt mir den Atem - einen kurzen Moment, bis ich mich an die Schönheit gewöhnt habe. 

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