Mittwoch, 31. Juli 2013

Le truc avec la Bouillabaisse

En lisant tous les différants livres, j'ai remarqué specialement une chose. N'importe quand le livre était écrit, n'importe de quel temps il traite : manger et boire sont deux elements très importants pour le savoir-vovre du Marseillais.
En ce qui concerne l'à boire la décision est simple: soit on boit du pastis soit du rosé - ou bien rien du tout!
Dans "Tansit" une bonne partie de la vie des refugiés attandants leurs visa de transit se passe dans les cafés de la Cannebière ou près de la préfecture. "Comme si nous étions assis d'une façon ensembles dans nos pays d'origines et pas dans ce café du port où les murs refletaient le gigottement er l'épouvante des refugiés." Les bars offrent donc aussi la possibilité de s'enfuir du quotidien, comme Montale le sait. Il frequente souvent ses cafés habituels - seulement pas pour boire du café.
Dans tous les bars on peut observer dés midi den gens sirotant avec plaisir leurs pastis, il est facile de se melanger avec eux. 
Quoi manger - cela est une decision beaucoup plus difficile. Tous les peuples venus à Marseille ont apportés leurs cuisines traditionelles avec eux. Specialement les pizzerias dans toutes les rues sont visibles. Au temps de la seconde guerre Mondiale les gens, notamment M Seidel, profitaient du fIt qu'au début il ne fallait pas de marques de pain pour les pizzas.
Pourtant on ne peut définir cela comme typiquement régional!
Cela doit être quelque chose avec du poisson, vu le joli  port au centre de Marseille. Et avec tous les anciens villages de pêcheurs on retrouve la dimension historique.
Montale a la chance d'avoir une voisine qui prend garde de lui en revanche il s'invite souvent chez la cuisinière formidable. Sa spécialité: la vraie bouillabaisse.
Montale er autres voyageurs la décrivent si detaillement qu'on a l'impression de la sentir sur la langue - quel goût extraordinaire! Pour l'ancien policier la soupe ouvre une autre dimension: comme ancien plat-des-pauvres elle contient une composante sociale, unissant de sa façon les Marseillais.
Maintenant on trouve le fameux plat de poisson dans tous les restaurants autour du Vieux Port.
Philippe Farget trouve qu'elle soit devenue une "carte postale gastronomique" pour laquelle il faut en plus laisser "plusieurs douzaines d'euros". 
N'importe à quel point l'authenticité soit douteuse - j'avisais absolument  manger une bouillabaisse à Marseille (er boire un verre de rosé comme Bella Block ce qui était très simple).  Mais mon plan tournait plus difficile qu'attendu, il faut trouver le bon restaurant. Après un peu de recherche j'ai trouvé "Fonfon", un magasin plutôt insignifiant fréquenté par Montale et d'autres Marseillais et situé dans le joli Vallon des Auffes. Seulement - est-ce que je veux vraiment payer 50 euros pour une soupe de poisson?
J'ai décidé que non et cherchais des alternatives. Après avoir constaté que "Les deux Soeurs" est fermé à cause de retraite et "La Table du Port" fait des vacances d'été, j'allais enfin confuse et perdue mais quand même déterminée et motivée "Chez Loury". C'étais le compromis - les poissons étaient fraichement drapés sur la soupe au lieu de les fileter à la traditionnelle à la table.
Un plat délicieux, pas de sensation mais simplement bon.
Ne reste que la question si mes papilles gustatives seraient exposées chez "Fonfon"?



Die Sache mit der Bouillabaisse

Bei der Lektüre der verschiedenen Bücher ist mir eine Sache besonders aufgefallen. Egal, wann das Buch geschrieben wurde, egal von welcher Zeit es handelt, Essen und Trinken sind zwei sehr wichtige Dinge und gehören wohl zur marseiller Lebensart.
Was das Flüssige angeht, gestaltet sich die Wahl einfach: entweder man trinkt Pastis, Rosé oder eben gar Nichts. In "Transit" beispielsweise findet ein großer Teil des Lebens de auf Transitvisa wartenden Flüchtlinge in den Cafés auf der Cannebière und um die Präfektur statt; "als säßen wir miteinander auf eine Weise in unserer Heimat und nicht in diesem verrückten Hafencafé, dessen Wände das Zappeln und Grauen der Flüchtlinge spiegelten." Die Bars und Cafés bieten also auch eine Möglichkeit aus dem Alltag auszubrechen, wie Fabio Montale sehr gut weiß. Er frequentiert oft seine Stammcafés - aber nicht um Café zu trinken.
In allen Bars kann man ab mittags Menschen beobachten, die genüsslich Ricard schlürfen und es ist ein Leichtes sich unterzumischen.
Was man dann allerdings zum Wein essen soll, ist nicht so eindeutig.
Die vielen Menschen, die von sonstwo hergekommen sind haben natürlich ihre traditionelle Küche mitgebracht. Auffällig sind die Pizzerias an jeder Straßenecke. Zu Zeiten des Zweiten Weltkrieges nutzen es viele - auch Seidel - aus, dass für Pizza zunächst keine Brotmarken gefordert wurden. Abe als typisch provenzialisch kann man das nicht bezeichnen!
Es muss schon etwas mit Fisch sein, wo Marseille doch einen schönen alten Hafen hat. Dank der vielen Fischerdörfer an den Rändern der Stadt ist diese Tradition auch historisch nachzuweisen.
Montale hat das Glück, eine ihn umsorgende Nachbarin zu haben, bei der er sich auf Grund ihrer exzellenten Kochkünste gerne einlädt. Ihr Spezialgebiet: die richtig echte Bouillabaisse.
Montale und andere Reisende beschreiben sie so detailreich, dass man meint, sie läge einem auf der Zunge - was für ein Geschmackserlebnis! Für Den Helden von Izzos Romanen eröffnet sie noch eine weiter Dimension. Als ursprüngliches Arme-Leute-Essesn beinhaltet die Suppe eine soziale Komponente, vereint sie doch auf ihre Weile die Marseiller.
Mittlerweile findet man das Fischgericht in wirklich jedem Restaurant um den Vieux Port. Laut Philippe Farget sei sie zu einer "gastronomischen Ansichtskarte" verkommen, für die man sich zusätzlich "einiger dutzend Euros entledigen" muss.
Egal wie zweifelhaft die "Echtheit" des Marseiller Gerichts ist - ich hatte mir in den Kopf gesetzt, eine Bouillabaisse in Marseille zu essen (und einen Rosé zu trinken wie Bella Block, aber das war einfach).
Der Plan stellte sich als schwieriger heraus als gedacht, man steht vor der Qual der Wahl des Restaurants.
Nach einiger Recherche habe ich "Fonfon"  gefunden, ein von Montale und anderen eingesessenen Marseillern frequentierter Laden, eher unscheinbar im Vallon des Auffes gelegen. Nur will und muss man wirklich 50 Euro für eine Fischsuppe bezahlen?
Ich entschied mich für nein und suchte nah Alternativen. Nachdem feststand, dass das "Les deux Soeurs" wegen Rente geschlossen hatte und das "La Table du Fort" eine Sommerpause machte, ging ich etwas verloren und verwirrt aber dennoch entschlossen und motiviert  ins "Chez Loury" , in der Rue Fortia, nahe des Hafens. Es war der Kompromiss - die Fischfilets waren frisch auf meinem Teller angerichtet - sie wurden nicht traditionell am Tisch filetiert. Alles in allem ein leckeres Essen, keine Sensation sondern einfach gut.
Nur die eine Frage bleibt - besteht die Möglichkeit, dass meine Geschmacksknospen bei Fonfon explodiert wären? 


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